Philosophie de l'art
Il y a un relativisme du beau. Concernant la beauté qu’on rencontre, certains auteur ont notés qu’il ya des similitudes de phénomènes psychologiques. On peut en distinguer 4 mécanismes psychologique qui accompagnent la rencontre avec la beauté : ex une fille dans le métro devant un bel homme.
1. Un sentiment fondamental de l’admiration, proche de l’éblouissement. D’ailleurs on a les yeux écarquillés. ça nous pétrifie, bouche bée. (cf le syndrome de Stendhal, face à la beauté certains sont pétrifiés ont doit les chercher en ambulance, devant une star...) Donc le syndrome de Stendhal n’est que la version pathologique.
1. L’étonnement, étymologiquement fait référence au tonnerre. C’est une espèce d’improbabilité, comment peut on être aussi beau, étonnement face à une réussite parfaite de la nature ( cf mort à Venise de Thomas Mann, le héros reste à Venise pour la beauté de quelqu’un, malgré la peste.
1. L’intimidation, l’objet / l’être beau peut intimider voir effrayé parce qu’il est exceptionnel. Référence dans le cantique des cantiques, dans la bible, il y a un amant qui parle de la beauté de celle qu’il aime et dit : qu’elle est imposante cette beauté, comme une armée rangée en bataille. Comment avoir cette métaphore guerrière pour la beauté, c’est tout simplement qu’elle lui fait peur. On les trouve dans les grands textes chez Homer . Cf poésie de Victor Hugo, les Orientales, Nourmahal La Housse *
1. Le supranormal, le sacré. Le Thambos des grecques, le sublime. on est au conffin du sentiment religieux, du sacré.. Pour les grecques, la beauté c’est le sacre des dieux. c’est une marque des dieux, signe d’un être d'exception, comme Achille. Dans la religion judéo chrétienne, c’est le coté diable, une beauté du diable. Dès qu’on est beau c’est dangereux. On est plutôt païen dans la beauté, ceux qui sont beau réussissent mieux, il s ont un pouvoir plus attractif. Les grecques respectent la beauté au point d’accepter les