Philosophie et soins infirmiers
Patient vient du terme « patir », en latin ceci signifie souffrance. Il est pris dans un engrenage destructeurs, des évènements négatifs s’enchainent depuis sa plus petit enfance. A la trentaine, il devrait profiter de ces acquis (travail, enfant, famille) et on se rend compte qu’il n’a rien mis à part de la souffrance et des embêtements.
Ce cours peut aider les personnes à dépasser des dépendances en donnant un sens de vie, ça permet d’injecter du sens à la vie pour accompagner les personnes en soins palliatif qui vont mourir, ou aussi des patients malades chroniques, ça permet de convoquer la résilience. En tant qu’infirmier c’est transférable dans plusieurs situations.
Quand on veut injecter du sens à la vie, ça signifie les aider à porter leur vie, on leur donne de la matière pour que malgré leur souffrance psychique et physique ils puissent aller de l’avant et ne pas se tourner vers des comportements destructeurs.
Question de l’accompagnement à la mort volontaire, en tant qu’infirmier doit on le faire ou non ? Mr P. joue sa vie contre la mort. S’il nous dit que sa vie est pourrie et qu’il veut mourir que faire ? Faut-il choisir de supprimer ou choisir la vie malgré tout. Il faut rechercher les éléments qui nous font choisir la vie malgré tout.
En SI peut-on accompagner les patients vers une mort volontaire ?
Y répondre de manière générale en SI
Y répondre dans le cas de pedro
Conclusion : Une partie de la société en Suisse est tolérante car il y a EXIT, DIGNITAS. C’est une question de valeur, ça dépend de l’image que ça véhicule.
Si on met en lien avec la religion, Lyttha Basset théologue a bcq travaillé la autour car son fils s’est suicidé. Dans la bible, au départ il n’y a pas d’interdit au suicide, par contre ça a posé problème au début de la chrétienté car les gens (fidèles et soldats) se suicidaient pour devenir des martyres, du coup ça affaiblissait l’état