Premièrement, nous pouvons constater des similitudes entre les positions des modernes dont les philosophes de cette vision sont René Descartes, Charles Taylor et Luc Ferry et la postmodernité de Friedrich Nietzsche. Il y a le thème de l’esprit critique. Tout d’abord, René Descartes s’est aperçu qu’il avait des opinions qui étaient fausses, mais qu’il pensait véritables. Il a décidé de supprimer tous ces fausses opinions. Il croit que rien n’est certain. Par contre, le fait d’avoir pensé que tout était faux, nous devions l’engendrer en nous. Par conséquent, nous pouvons affirmer la vérité suivante: « Je pense, donc je suis.»1 En résumé, nous sommes en mesure de se poser des questions par l’idée de la subjectivité qui est la capacité de réfléchir avec méthode dont le critère de la vérité et par l’idée d’esprit critique qui est la capacité de faire sa propre opinion par exemple une personne obéit à une autorité, car cette personne juge que cette autorité lui semble acceptable. Cette remise en question pour les modernes s’approche du critère de l’éternel retour de la postmodernité du philosophe Friedrich Nietzsche. Ce critère permet d’évaluer ce qui est admissible en se posant la question : « Sommes-nous prêts à revouloir une même chose un nombre infini de fois?» Dans le domaine de l’agroalimentaire, des producteurs de lait biologique savaient se remettre en question, car auparavant, ils faisaient de l’agriculture industrielle et ne se voyaient pas à en faire un nombre infini de fois alors ils ont changé naturellement pour le biologique parce qu’ils voulaient continuer à aimer ce qu’ils font. Ensuite, la conception moderne élimine les idéaux anciens par exemple le cosmos où Dieu était supérieur à l’être humain. Charles Taylor affirme que les personnes doivent se souvenir des idéaux qui ont été oubliés et d’arrêter des idéaux comme l’efficacité et la domination par exemple dans le domaine agroalimentaire, les personnes devraient tous avoir le même but en appliquant