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Tout d’abord, le solaire est une énergie appelée “renouvelable” : c’est à dire qu’elle est basée sur une source d’énergie se renouvelant assez rapidement pour être considérée comme inépuisable à l’échelle humaine du temps. Or comme cette énergie est basée sur un élément naturel, le soleil, elle ne pollue pas comparée aux carburants fossiles ou nucléaire dont elle est complètement indépendante.
Ensuite, chose très importante car elle est sur toute les bouches à l’heure actuelle, les panneaux solaires n’émettent pas de CO2 , nuisible à l'environnement.
Enfin, l’énergie solaire évite les pollutions indirectes telles que l’extraction de la matière première, le stockage ou encore le transport.
Bien qu’elle évite ces pollutions indirectes, cette énergie n’est pas si “verte” que ça.
En effet, le solaire engendre un bon nombre de pollution indirecte et présente quelques vices bien cachés.
Tout d’abord nous pouvons voir que cette énergie qui en apparence n’émet pas de CO2 est émet en fait énormément, indirectement, car derrière chaque cellule photovoltaïque produite, il y a une usine qui la produit ... et qui émet un grand taux de CO2.
Ensuite, pour produire une CPV, on utilise du silicium dont la forme naturelle est inutilisable comme telle. Ainsi, le silicium est traité ou obtenu par chauffage à très haute température ce qui représente une très grande consommation d’énergie et donc de CO2. Ainsi, contre toute attente, l’énergie solaire s’avère être l’énergie renouvelable qui émet le plus de Dioxyde de Carbone avec une estimation de 60 grammes par kWh.
Enfin, avec la production de mauvais panneau solaire, car ces derniers polluent à cause de leurs batteries et des métaux lourds qu’ils ou elles contiennent comme du plomb, du zinc ou encore du cadmium. L’impact écologique en terme de pollution de ces métaux est certes minime mais