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Phèdre racine acte 1, scène trois , vers 238 « tu frémiras d’horreur » au vers 278 « tourments inévitable » : pourquoi l’aveu de phèdre paraît-il impossible ?

272 mots 2 pages
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I L’aveu de Phèdre
1. Œnone nourrice habile a. Tendresse et soumission d’Œnone
- « au nom des pleures que pour vous j’ai versée » elle l’attendrit
- questions rhétoriques « aimez vous ? » « qui ? » b. Pouvoir sur Phèdre
- impératifs
- répliques brèves  incisive
- Phrase exclamatives et interrogatives

2. Une Phèdre rétissante
- elle refuse l’aveu « Tu frémira d’horreur si je rompt le silence » voc hyperbolique
- elle ne sait pas comment avouer « Ciel ! Que vais-je lui dire ? Et par où commencer ? » Questionnement
- elle avoue qu’elle aime en pleurant la haine de Venus sur sa famille et sur elle  elle évoque la malédiction des Dieux.
- elle ne peut pas nommer Hyppolite elle accuse Œnone « C’est toi qui l’a nommer »

II Phèdre une héroïne tragique
1. Fatalité du personnage
a. Lutte impuissante, haine
- Voc péché « accable » « mourrai » « sort » « coupable »
- Voc haine « haine » « colère »
- Fatalité « le sort qui m ‘accable »

b. La haine de Venus
- la divinité est plus forte que l’homme

2. L’amour comme une maladie
- Phèdre souffre elle est comme prisonnière voc maladie

3. La souffrance extrême qui conduit à la mort
- Phèdre pense que l’amour est un crime « Je péris la dernière et la plus misérable »
- gradation « A ce nom fatal, je tremble, je frissonne »  intensifie la souffrance

Conclusion : L’aveu de Phèdre est poussé par Œnone qui a un pouvoir sur Phèdre mais elle est régissante ne veut pas et ne sait pas comment avouer elle ne veut pas prononcé le nom d’Hyppolite car elle considère cet amour comme un crime, une maladie, une fatalité des Dieux. Cet aveux est un supplice pour

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