Premièrement, Phèdre est tombée en amour, mais pas avec la bonne personne. En effet, dans cette strophe Phèdre dévoile son amour pour Hippolyte à Oenone. Phèdre ne cesse de penser à lui. Le thème de l’amour est présent puisqu’il y a un champ lexicale tel que : «rougis», «pâlis», «superbe». Ce champ lexicale nous démontre comment Phèdre ce sent à l’encontre d’Hippolyte. Elle est tombée en amour avec celui-ci. De plus, des procédés stylistiques nous démontrent son amour. L’antithèse «Je sentis tout mon corps et transir et brûler;», met en relief la coexistence de deux éléments opposés. L’opposition des mots «Transir» et «Brûler», un qui signifie le chaud et l’autre le froid, permet de comprendre que Phèdre est vraiment en amour

Deuxièmement, Phèdre réalisa qu’elle est prise au piège de son amour. Elle est tombée en amour avec son beau-fils. Elle tente le tout pour le tout afin de l’oublier. Prise au piège de cet amour prédestiné. Le thème de l’oublie est très bien supporté par le champ lexical: «Exil», «Éloigné», «Destiné», «Cruel». Phèdre prie Vénus et exile Hippolyte en essayant de l’oublier.

Finalement, Phèdre annonce qu’elle ne sait plus quoi faire. Celle-ci à subit la fatalité de l’amour. Son amour fixée par le destin qui était inévitable ne lui laisse plus aucun goût de vivre. Elle désir qu’on la laisse mourir une fois pour tout. Le champ lexical du thème de la fatalité dans cette derniere partie de strophe est : «Mort», «S’exhaler», «N’ai pu soutenir». En effet, Phèdre est prête à mourir