Piece de theatre inspirer de racine
Le valet : Femme, vous êtes l’unique de ma convoitise. La future reine : Mais êtes-vous devenu fou. Convoitiser la reine peut veut couter très cher. Le valet : Et bien soit, mais pour voler votre cœur je suis prêt à en payer de ma vie si il le faut. Le roi (il survint) : Que se passe-t-il, et vous allez donc vous occuper de la couture de madame pour le mariage. Le valet : Ce mariage n’aura point lieu ! Le roi : Et pourquoi n’aura-t-il point lieu, je suis le roi et personne ne peut s’opposer à ma volonté ! Le valet : Moi je le peux. La femme dont vous souhaitez faire une reine est ma convoitise. Le roi : Bien ! Puisqu’il en est ainsi il vous faudra m’affronter et si je péris, le cœur de la belle sera à vous, mais si vous faiblissez alors je vous ferai exécuter pour m’avoir provoqué en duel. Le roi (il partit en rigolant et s’adressa au valet) : Préparez-vous à mourir guillotiné mon cher ! (Le lendemain) Une fidèle du roi : Vous êtes bien courageux d’oser défier le roi, je vous souhaite de le vaincre car sinon la guillotine ne donne pas cher de votre peau. Le valet : Ne vous inquiété point pour mon sort, inquiété vous plutôt de celui de votre roi. (Le roi arrive sur un grand cheval noir et d’un ton sec il dit) : Alors jeune homme je vois que vous n’avez point renoncé. (Le duel est lancé, en seul coup d’épée le valet se trouve être mis à terre) : Voyez-vous comme il se trouve être ridicule. La belle : (Très inquiète pour celui qu’elle aime s’empressa de courir mais elle fut très vite arrêtée par les fidèles du roi) : Non ! Le roi : Que se passe-t-il ma douce ? Regardé moi ce pauvre malheureux ! Il souhaiter partir avec ma muse mais il n’est point capable de me vaincre en duel.