Piedmont

843 mots 4 pages
INTRODUCTION
Le « samedi noir » des Laurentides restera à jamais gravé dans la mémoire des citoyens de Piedmont. Cette journée-là, un père de famille, aussi cardiologue, a tué ses enfants suite à des problèmes conjugales. À ce moment-là, la mère des enfants, urgentologue à l’Hôtel-Dieu était entrain de skier dans les Laurentides. Le meurtre était prémédité puisqu’il avait précédemment écrit une lettre expliquant les raisons de ses actes. Ce drame permettra d'engager une réflexion sur les motifs l’ayant poussé à commettre le meurtre de ses enfants, et sur la relation des maladies mentales chez les médecins. Les médecins sont eux aussi des humains, ils ne sont pas protégés contre la dépression ni les maladies mentales, mais la question qu’il faut se poser est celle de la rationalité. Je me suis posée est la suivante; comment un médecin qui sauve la vie de millier de patients par semaine peut-il réussir à mettre fin à celle de ses enfants. Le problème philosophique s’agit de l’agressivité. La thèse que je soutiens est celle de la liberté. C'est-à-dire qu’il était libre de ne pas tuer. Il n’était pas dans l’obligation de tuer ses enfants. Nous pouvons aussi considérer qu’il connaissait la loi, puisqu’en étant médecin, cela suppose qu’il était très bien éduqué.
DÉVELOPPEMENT
Tout d’abords, il y a une pertinence dans la synthèse de pensée de Freud et le cas Piedmont et à la violence familiale. Il faut se poser la question suivante pour mieux comprendre le crime; qu’es ce qui s’est passé dans la tête du père? Ce n’était pas un règlement de compte d’un gang de rue, c’était un citoyen ordinaire qui a tout simplement détraqué. L’agressivité c’est un être de nature qui s’oppose à un être de culture. Cela vient mettre en contexte le «ça» le «surmoi» et le «moi».Le «ça» dans cette histoire, c’est la partie inconsciente du psychisme. Il faut supposer que l’homme n’était pas dans un état de conscience au moment où il a tué ses enfants. C’est impensable pour un père de

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