La phrase « je te défends (…) je te défends » montre que Jean est a court d’argument car il répète deux fois l’expression « je te défends ». Cette idée est accentuée par les points de suspensions présentes aussi deux fois. On retrouve la même construction dans la phrase « tu ose (…) l’ordonne».
Le champ lexical de la violence est omniprésent comme le prouve les mots « crime » « coups » « souffrir »…
Dans la deuxième partie du dialogue Jean est a court d’argument et en vient à menacer son frère comme le prouve la phrase « Mais je te casserai tes dents de vipère moi, je te forcerai à me respecter »
L’expression « Ah (…) Dieu » les répétitions et la ponctuation très présente montre que Pierre est choqué. Il ne sait pas comment réagir par rapport aux propos de Jean.

Dans la phrase « Jean (…) cœur » prouve que Jean cherche à faire mal à son frère de plus l’énumération « la fureur, la chose, la phrase, le mot » le confirme. La phrase « il reprit en s’efforçant (…) aigüe » accentue cette idée.
Les phrases « Pierre poussa (…) familiers » et «moi (…) grasse » montre que Pierre provoque son frère.
Dans la phrase « et le jour (…) valoir » Pierre fait une analepse afin de reprocher à Pierre toutes les choses passé qu’il n’a pas apprécié.
Dans la phrase « oui tu es (…) toi » il y a une anaphore sur le mot « tu » et « et ». Jean argumente pour justifier la soi disant jalousie de Pierre.
Lors de ses prises de parole jean insiste beaucoup sur le mot jaloux pour irriter son frère.
La phrase « mais Pierre (…) sang » il y’ a une suite d’antithèse qui indique que pierre est submerger par ses sentiments, qu’il a beaucoup de mal a les contenir. Les phrases « Pierre ferma (…) gorge » et « Pierre avait reculé (…) crimes » montre que pierre en devient presque fou.
L’expression j’en crève de chagrin » est une hyperbole qui montre que pierre est dans un mal être profond. Il expose sa souffrance qu’il a enduré tout en gardant une certaine violence dans ces mots. Il y a une