Le notaire leur demanda si ils avaient connu un monsieur Léon Maréchal à Paris. M. Roland et sa femme s’écrièrent que oui. M Roland devant l’air interrogatif du notaire expliqua que c’était en effet son meilleur ami, qu’il ne l’avait pas revu depuis son départ de la capitale et qu’ils avaient arrêtés de se parler en raison de la distance qui les séparait. M. Roland perçu alors un changement dans l’intonation de la voix du notaire qui leur annonça que leur ami Parisien venait de mourir. M Roland eut un choc à l’annonce de cette nouvelle et vit le visage de sa femme se décomposer. M Lecanu annonça alors que leur ami désignait comme héritier leur deuxième fils. Le mari observa son épouse, vit son visage rempli de larmes et empreint d’une infinie tristesse. L’appât du gain supplanta l’amitié que pouvait avoir les deux hommes. M Roland se posa tout de suite la question du montant de l’héritage, mais n’osa pas la soumettre. Il demanda tout de même la cause de la mort. Le notaire impassible lui dit qu’elle lui était inconnue, par contre il léguait toute sa fortune soit vingt mille francs au second fils Roland, en cas de refus l’héritage irait aux enfants abandonnés. A cette annonce le cœur du père Roland faillit exploser, il avait envie de rire et pleurer à la foi, il avait du mal à croire ce qu’il venait d’entendre mais eu la présence d’esprit de dire pour camoufler les sentiments qui l’agitaient qui l’eu fait même chose pour son ami s’il n’avait pas eu d’enfant. Roland vit le notaire sourire d’un air narquois et lui faire remarquer qu’il était heureux de leur annoncer cette bonne