Fashion Week de Londres n'est pas épuisé pour le facilement. Montre Th sont situés dans les moindres recoins de la ville (le plus branché du designer, plus fâcheusement au hasard le lieu) ans le calendrier est toujours exécutée au moins deux heures de retard. Ceux qui ne connaissent pas leur Balanciaga de leur Botefa Veneta ont tendance à tort la Fashion Week de Londres en tant que marque le cousin démodée de Paris, Milan ans à New York. Mais tandis que l'Amérique pourrait avoir de l'argent, l'Italie, les grands noms de la France et de la haute couture, Londres rampe de lancement pour les nouveaux créateurs.
C'est le jardin d'enfants créatrice de l'univers de la mode, dit melanie rickey, Garcia mode fonctionnalités de l'éditeur.

Young, Vibrant d'énergie.
Et si les années quatre-vingts ont porté sur les New Romantics et la Nineties ont été définis par cool Britannia, les noughties sont en train de devenir un croisement entre les deux. Rickey se réfère à la tendance comme «nu rave". Il s'agit d'un jeune, le dynamisme, dit-elle. Chaque décennie a son moment et à Londres, c'est maintenant. Les États-Unis est clairement sentir l'effet d'une foule de rédactrices de mode amérique fixés pour assister aux spectacles. Anna Wintour, les femmes les plus puissantes de la mode, serait voler dans des réunions privées avec certains des designers les clés. Alors, qui faut-il veiller sur? Le nom sur toutes les lèvres est celle de 23 ans Christopher Kane. Après avoir été diplômé du Central Saint-Martin il ya un an, il a déjà mis en sac un poste de consultant en design pour Donatella Versace, tout en trouvant le temps de créer sa propre ligne, et sa collection capsule pour Topshop vient de ses magasins. Un autre homme qui fait une robe chaude est sérieusement Mario Shwab. Pendant ce temps, Duro de patchwork robes de soie d'impression sont en train de devenir des objets