Dans Pierre Grassous, la société et l’art bourgeois sont dominés par la médiocrité et corrompue par l’argent
Montrer comment la nouvelle de Balzac démontre cette réalité. Vous devez faire l’analyse de la narration et du récit.

L’élite de la société n’évolue que très peu au fil du temps. Au travers des siècles, toutes ces personnalités influentes ont en commun au moins une chose. Toutes possèdent un pouvoir économique important. Ces hommes et ces femmes sont les têtes dirigeantes, mais elles sont perverties par ce pouvoir. Dans la nouvelle Pierre Grassous de Balzac la société bourgeoise du dix-neuvième siècle est critiquée pour ses tendances de luxures. De même, l’art est elle aussi infecté par ce mal. Premièrement, les bourgeois dans la nouvelles de Balzac sont grotesques de médiocrité. Ils sont dépeints comme des gens joviales, riches et ignares. Ils sont prêt a acheté des tableaux à de forte somme seulement parce qu’ils ont été fait par des grand maitres. Fougère, est un artiste peintre de peu de talent avec l’association d’un vendeur de tableau il réussit à survivre de peine et de misère. Lors d’une exposition, les amis de Pierre Grassous le prirent en pitié et exposèrent une de ses toiles qu’il avait copiées d’un autre peintre célèbre. Il en résultat une grande popularité de Fougère. «Inventer en toute chose, c’est vouloir mourir à petit feu; copier c’est vivre». Dans cette citation, l’auteur fait ressortir le coté facile et sans morale de la vie. C’est plus facile et c’est plus rentable de copier après tout il ne veut pas se compliquer l’existence. Le moyen que Fougère a trouvé pour s’en sortir est d’épouser la fille d’un riche marchand. Pour se faire il n’eut qu’à leur peindre un portrait et de leur dire qu’il gardait son argent de côté pour les charmer. Il se rencontre de toute la médiocrité des bourgeois quand M. Vervelle l’invite à un souper dans sa maison à Ville-d’Avray et lui montre son impressionnantes collection de tableaux.