Pisa
Intro :
Théorie du capital humain : * Diplôme= valeur * « culture anxieuse du résultat » * Mondialisation et regard des parents sur l’école
= regarder ce qui se passe dans les autres pays
Méthodologie : * Publication tous les 3 ans portant sur 30 pays de l’OCDE * Enquête sur 5000 élèves de 15 ans et 3 mois à 16 ans et 2 mois avec une marge d’erreur de 5 points (pays qui scolarisent ~100% d’élèves de cet âge). * 3 domaines analysés : * Compréhension de l’écrit * Culture mathématiques * Culture scientifique
Ils mettent l’accent à chaque fois sur un domaine. * 2 valeurs structurent les enquêtes : la justice sociale et l’efficacité * PISA évalue si les élèves savent se servir des leçons qu’ils ont apprises à l’école pour débrouiller dans la vie (et non pas s’ils ont bien appris leurs leçons). * « finalités fondamentales de l’école : former des citoyens autonomes, capables d’exloiter dans leur vie d’adulte, professionnelle et quotidienne, le capital de connaissances et de savoirs transmis par l’école ».
Premières conclusions de PISA : * Elitisme républicain, culture du classement et de la sélection précoce, reproduction des inégalités * « en somme elle n’est ni juste ni efficace » * « la France n’a pas su se doter d’un véritable tronc commun assurant une formation élevée au plus mauvais élève sortant du plus mauvais des collèges ». * Dichotomie grandes écoles et universités * Formation tertiaires/ industrielles * « les pays qui occupent les 1er rangs en matières de performance scolaire sont aussi, bien souvent, ceux qui limitent le plus leurs inégalités ».
Ces comparaisons internationales permettent de comprendre : * Comment d’autres pays font mieux que nous * Qu’en peu de temps la situation peut évoluer * Que le fait d’être un pays riche ne suffit plus à garantir un niveau de compétences élevé.
Qui a peur de