Pour éviter le réalisme les actrices doivent jouées et surjouées. C’est une des raisons pour laquelle la pièce n’a pas bien marché. Il cherche à montrer au spectateur que ce n’est pas vrai, et de ce fait le spectateur ne se prend pas à la fiction. Il contre le théâtre qui émule le vrai. La mise en scène paraît réaliste qui ne correspond pas avec ce que voulait Gené. Elles sont dans une position assez particulière, elles regardent le publiques, c’est cette mise en scène qui aurait plut à Gené.

Il y eu à la fin de 2010, un spectacle à Paris où était mis en musique ‘un condamné à mort’. Jean Gené est un ‘diamant noir’. ‘Les pares à vents’ était aussi une pièce de Gené. Jean Gené était un auteur homosexuel.

Les bonnes

Le texte est écrit en 1946 et joué en 1947. C’est une pièce tragique, violente, peut être inspiré d’un fait divers mais l’auteur le ni. Deux sœurs qui sont les bonnes jalouses de leur maîtresse, et veulent empoisonnée leur maîtresse. Elle s’amusent à prendre le rôle de Madame, et ce jeu se finit par la mort de Claire. Le public n’as pas du tout apprécié la représentation. Le film produit à partir de cette pièce est ‘Les blessures assassines’ de Jean-Pierre Denit.

Nous sommes dans le dernière partie de la pièce. On marche vers la catastrophe.

Comment le jeu des servantes traduit-il les relations avec la maîtresse ?
En quoi le jeu des bonnes est un exutoire ?
En quoi la vision de la relation maitre à valet est ici spécial ?

Un duo instable.On trouve dans le texte Claire et Solange qui se livre à un jeu où elles changent d’identité, où Claire devient la Maîtresse et Solange prend le rôle de Claire. On as donc une première inversion des rôles mais dans la suite du texte on remarque qu’il y a encore un échange des rôles où Claire perd le contrôle de Solange qui vas venir dominer ce qui est à la base un jeu. Mais quand à ce moment, Claire perd le fil du jeu et ne trouve plus d’inspiration elle se fait écrasé par Solange qui