Plaidoirie en faveur de mersault du livre l'etranger de a. camus
608 mots
3 pages
Plaidoirie en faveur de Mersault Savez vous que la société actuelle pousse un homme à la fourberie, au mensonge ? Prenons l’exemple d’un procès, (histoire vraie : les 6TTR y ont assisté le mardi 05 Février) trois jeunes hommes ayant commis des actes punissables par la loi se retrouvent confrontés à un jury populaire. Deux de ces jeunes s’en sont tiré avec quelques travaux d’intérêts généraux car ils ont présenté des excuses, bien qu’elles ne soient pas réellement sincères… Le dernier n’en présenta aucune et écope d’une peine de prison. Il n’a pas été jugé sur ces actes mais sur son attitude, cette attitude qui n’entre pas dans les normes définies par la société. Comme il est mal vu de ne pas pleurer à l’enterrement de l’un de ces parents. Pourriez vous accepter un individu étranger à toutes ces normes, tels que Mersault, comme amis ou simple connaissance ? Pour commencer chaque personne à droits à la liberté de penser. Ceci est un fondement majeur apparaissant dans l’article 18 de la Déclaration des Droits de l’Homme que je citerai ci-dessous :
« Toute personne à droit à la liberté de penser, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seul ou en commun, tant en public, qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites »
Alors pourquoi juger Mersault sur ses droits ? Vous changeriez les fondements de la déclaration des Droits de l’Homme ? Nous avons pu constater qu’un homme fourbe s’en sort avec une peine moindre qu’un homme honnête. Est-ce comme cela que la justice fonctionne ? Si c’est le cas, elle ressemblera à ça :
Ensuite, la démocratie est le pouvoir aux citoyens. Ceux-ci ont des devoirs à remplir, comme payer des impôts, voter,…, et ont des droits. Mersault paie ses factures, a un emploi, il correspond donc bien à