Étude de cas:
Manifestation Pacifique.

Messieurs, mesdames, merci pour le temps que vous m'accordez. Comme le disait Alfred Jarry « Les balances de la justice trébuchent, et pourtant l'on dit: raide comme la Justice. La Justice serait-elle ivre? » en ce jour c'est à vous que je m'adresse, en espérant que vous saurait rendre l'équilibre a ces balances. Je suis révoltée, oui je dis bien révoltée par les faits que je m'apprêtes à vous annoncer:
Monsieur le Président, le groupe de manifestant PACIFIQUE dont le plaide la cause, s'est mobilisé afin de défendre un lieu dédier aux enfants, c'est un espace de détente et de loisirs pour petits et grands, qui va être transformé en parking. Ce groupe de manifestants s'est réuni PACIFIQUEMENT afin de contester ce projet. Les forces de l'ordre ont déclaré que cette manifestation n'a pas lieu d'être. Ils leur ont demandé de quitter les lieux et de regagner leur demeure respective. Les manifestants décident de procéder à un sit-in, un mouvement qui consiste à s'asseoir au sol et à ne pas bouger.

Monsieur le Président ainsi que messieurs, mesdames les juges, ces manifestants ont été consternés par ce projet qui est de supprimer un parc, un espace en un parking. C'est un espace de rencontre où les habitants du quartier s'y retrouvent pour converser. C'est un endroit où se fait la rencontre entre trois générations : la génération des grand-parents, celle des parents, ainsi que celle des enfants. Un lieu où les habitants du quartier se rendent pour se détendre. Avons nous le droit de priver toutes ces personnes de leurs plaisirs quotidiens? Avons nous le droit le priver une personne âgée de son SEUL plaisir? Monsieur Dumond par exemple, est l'un des manifestants qui a été violenté par les forces de l'ordre. C'est une personne âgée qui se rendait chaque jour dans ce parc afin de pouvoir voir de l'animation, voir tout ces enfant rires aux éclats, voir la vie animée au plus haut point. Pouvons nous priver une personne