Plaisir et liberté
L’articulation du plaisir à la lib n’est un pb que si on pense la lib abstraitement, alors qu’en réalité, il n’y a de liberté qu’en situation -> elle est incarnée dans le monde, et les choses sont à penser dans le mode de la réappropriation vivante et sélective, la distance est celle de la cs, qui est évaluante, jugeante, réappropriation sélective : on ne choisit pas d’éprouver du plaisir
Alors que dans la liberté, on peut toujours donner son assentiment, approfondir, choisir de dire non
En outre, si la lib est constitutive de notre nature humaine, ne pas oublier que le plaisir est l’affect qui marque l’accord à soi d’un vivant= l’accord à soi dynamique = l’accomplissement de soi
Donc quand on pense le rapport entre affectivité et liberté, la réappropriation est inséparable du plaisir puisqu’elle est liberté
Le plaisir est éprouvé : paradoxe intellectuel et vécu existentiellement (épreuve de la sensation, du sentiment d’engluement dans le plaisir)
Ne peut vivre cette sensation que celui qui est pour la liberté, pour la vie
L’éducation au plaisir
Analyse du sujet : repérage des difficultés
Définition des termes du sujet : travailler par oppositions
Le champs de l’éduction est très vaste -> institution (système éducatif), le système familial…
L’éducation est un thème repris par la philosophie : La République de Platon : éduquer le citoyen, Rousseau (Emile ou de l’éduction)…
Education ≠ formation et apprentissage -> l’apprenti apprend une pratique, un savoir faire, une technique, l’apprentissage de la vie = savoir se débrouiller, formation intellectuelle : développe des compétences théoriques
Formation et apprentissage ne sont pas étrangèrs à l’éduction, mais ils ne s’y assimilent pas : qqn qui est éduqué, qui a une bonne éducation = qqn qui sait se conduire, qui a une rectitude de conduite, une autonomie de jugement
Ex-ducere = conduire hors de