S’il n’y a pas de plan, ni d’architecte, il n’y a pas d’édifice.
Le plan n’a pas bonne réputation. Deux critiques, souvent inconscientes, lui sont adressées. Il souffre d’une image de lourdeur (plans quinquennaux) Une vision prospective qui met en cause son utilité dans un monde devenu imprévisible.

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Introduction

Introduction I t d ti
Il n’y a pas de communication d’entreprise ’ i i ’ i sans plan de communication.
Les entreprises marocaines connaissent un certain retard dans la planification de la communication. L’élément majeur explicatif de ce constat est : La déviance pratique consistant à commencer par les moyens avant toute réflexion sur les finalités. On cherche à analyser les relations avec telle ou telle cible (la presse, l clients…), généralement à la suite de la survenance les li t ) é é l t l it d l d’un problème ponctuel, sans avoir placé le sujet dans une vision d’ensemble et autour d’un objectif global.

Introduction I t d ti
L’élaboration du plan de communication correspond au troisième type d’intervention. Dans ces cas, les opérations de communication ne sont p plus des événements ponctuels dans la vie de l’organisation, mais s’inscrivent dans un p g programme lui-même intégré dans le processus global de gestion. On observe chez les organisations qui cherchent à influencer un g q public-cible trois types d’interventions :

Les interventions occasionnelles : elles sont en général discontinues, dictées par des besoins ponctuels et circonstanciels. Par exemple : réfuter un propos que l’on estime erroné, annoncer une nomination, etc.

Les interventions périodiques : elles sont plus ou moins régulières et plus ou moins planifiées. Elles assurent une certaines présence dans l’opinion publique et sont quelquefois utilisées dans le contexte d’une courte campagne d une campagne.

Les interventions planifiées : elles sont basées sur des études, adaptées aux besoins de l’organisation orientées par des objectifs l organisation,