Plan de commentaire littéraire de l'epilogue de La Peste.
A. Un Triomphe brusque
Grande rapidité dans le changement des événements et des mentalités
Rythme rapide, une description hâtive mais détaillée
La délivrance fait de cette ville un endroit chaleureux la ou, si peu de temps avant l’odeur de la mort prédominait.
Mais pas seulement
B. Une réjouissance qui tend vers l’exhibition
Le peuple ne ce soucie plus de la pudeur : « … de nombreux couples enlacés qui ne craignaient pas de se donner en spectacle.
Une forte intensité a l’heure de fêté la délivrance : « au milieu des cloches, du canon, des musiques et des cris assourdissants… des faces hilares se renversaient contre le ciel »
C. Universalité du Bonheur
Les commerces tels que les cafés qui perdent le sens du bénéfice et distribuent leurs derniers alcools
Des hommes heureux qui retrouve la foi « Dans les églises, en effet, des actions de grâces étaient récitées. »
Révélation de forts sentiments et sensations « Les cloches de la ville sonnèrent, à la volée
Elles remplissaient de leurs vibrations un ciel bleu et doré. »
Les Termes tous, partout, tout et ceux des lieux tel que, les églises, les cafés au pluriel donne la sensation de que cette joie et celle de tous
II. Le rôle de Rieux
A. Rieux témoin de la délivrance
Rieux marche à travers cette universalité cette unique personne réuni par la délivrance, sans en faire vraiment partie « il cheminait seul… »
Il raisonne sur les conséquences de la peste et abouti a la liberté bien qu’elle soit amère
Pour lui, les joies simples sont celles qui annoncent la fin du fléau car elle brisent le quotidien meurtrier qu’était celui de la peste.
Forte présence d’adjectifs démonstratif, ce et cette
Néanmoins
B. Rieux, aussi acteur de cette délivrance
L’expression « se fond dans ce grand corps hurlant » prouve que il en fait partie
Le cri du peuple était bel est bien le même cri que celui de Rieux