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Plan Detaill Du Lac De Lamartine

440 mots 2 pages
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Plan Détaillé
Introduction :
La bien-aimée de Lamartine meurt d’une maladie alors qu’il est seul sur les rives du Bourget en Savoie. Alphonse de Lamartine exprime son émotion face au temps qui s’enfuit dans Méditation poétiques (1820). Ce poème est un récit au ton plaintif adapté à l’évocation d’un mort et a l’expression d’une souffrance amoureuse. En quoi ce poème est-il un poème élégiaque ? Dans un premier temps nous observerons la dureté du temps, dans un second temps nous nous pencherons sur le désespoir face au temps qui fuit puis dans une troisième partie nous étudierons la personnification du lac et du temps.
Plan détaillé :
I- Dureté du temps
1) L’écoulement du temps
Vers1 à 4 : L’assonance en « ou » provoque un rythme doux et lent qui rappelle l’écoulement paisible de l’eau
Contrairement à la deuxième strophe ou il y a une assonance en « ère » qui introduit un temps qui domine et qui est dur.
2) L’inexorabilité du temps qui passe
Vers 17 : la locution verbale « tout à coup » vient briser l’harmonie de la scène et suggère l’indifférence du temps par rapport aux personnages.
Vers 10-11 : L’anaphore et l’imparfait sempiternelle (qui dure) traduit le temps qui dure et qui persiste quoiqu’il se passe.
II- Le désespoir face au temps qui fuit
1) L’indignation
Vers 3-4 : la question rhétorique permet de traduire la volonté du narrateur à s’indigner devant un temps qui fuit trop vite pour lui.
Vers 21 : l’exclamation « O temps » permet de nous expliquer la supériorité du temps dans ce récit et l’indignation du narrateur
2) Le temps qui les rattrape
Vers 17 à 20 : le contraste entre l’assonance en « ère » et celle en « s » suggère la précipitation
Vers 15 : la coupe à l’hémistiche du bruit des rameurs qui frappe en « cadence » rappelle une machine qui avance en détruisant tout sur son passage
III- La personnification du temps et du lac
1) Le lac
Vers 11-13 : personnification du lac, l’auteur tutoie le lac, cela crée un rapprochement intime entre le narrateur

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