Plan dissertation expérience combattante première guerre mondiale
-L’expérience combattante : survivre et tenir au front.
-1914-1918 : survivre et combattre.
-Au front, l’enfer du combattant.
-La vie quotidienne des soldats durant la 1GM
-Combats et violence pendant la guerre (1914-1918)
I. La violence des combats
A. Une puissance de feu jamais atteinte auparavant (mortiers, obusnombreux et long bombardements : 60millions d’obus à Verdun entre fév. et juin 1916, fusils et mitraillettes)
B. Des assauts inefficaces et meurtriers (inefficace car tranchées protègent : description, meurtriers car meurtriers car les armes puissantes font de gros dégâts, mais principalement en première ligne)
C. De nouvelles armes et de nouvelles blessures (grenades offensives, lances flammes, gaz chirurgie de guerre)
II. La fatigue des corps et des esprits
A. Un appareil défensif à entretenir constamment (manque d’hygiène : pas de toilettes, corps qui s’entassentossuaires, poux et rats, manque de confort)
B. Des conditions physiques toujours éprouvantes (tranchées boueuses, matériel lourd, faim)
C. Peur, stress et ennui (peur de la mort, de l’ennemi ex : bruit des ennemis qui creusent pour mettre des bombes, « Ces attaques, et la crainte des gaz et l’humidité, rendaient la vie en première ligne insupportable »John Monash (Sir) The Australian Victories in France in 1918, Londres 1920, ennui entre les offensives, lassitude car la guerre dure, « On est devenu des machines à attendre » Henry Barbusse, Le feu(Journal d’une escouade)1916)
III. Tenir
A. Autorité et contrainte (contraint de la discipline militaire préparée dès le plus jeune âge par cours de gymnastique : marcher au pas…, répression des mutineries : 75 fusillés pour exemple)
B. Consentement et culture de guerre (def de culture de guerre, sentiment d’avoir raison par le dvpmt du nationalisme, surprise de l’état major au sujet de la désertion :- de 3%)
C. Le lien avec l’arrière (soldats pdt permissions 1semaines tous les 4 mois choqués par bourrage