Français :

Victoria Guillemette

Mélissa Bailli

Cassandra Dominguez

Aurélie Lescaut

I- La Bétique un pays utopique :

A. Un pays où il est doux de vivre :

La personnification du ciel ligne 1 va me permettre de montrer qu'en Bétis tous les éléments sont au service du bien-être des habitants. Les assonances des "r" et "l" donne un aspect de fluidité du récit. La répétition du mot "grand" ligne 2 et 4, montre la grandeur du monde, ainsi il indique la petitesse et l'écart de la Bétis. De ce fait, un des principes utopique est représenté avec l'écart entre la Bétis et le monde. Le champ lexical de la douceur permet d'insister sur la douceur des saisons. Pour fini le concept antique de l'âge d'or va décrire une période passé ou tout était parfais.

B. Un pays fécond :

Le champ lexical de la nature qui représente une nature abondante presqu'au service de l'homme. Un référence à l'âge d'or ligne 10,11 représente une nature qui pousse d'elle-même sans l'aide de l'homme. L'hyperbole ligne 12 montre une abondance et que de ce fait, tout est profitable à l'homme.

C. Le bonheur dans les choses simples :

Le polyptote du mot simple va insisté sur la simplicité des habitants de la Bétique. L'opposition entre le superflu et l'essentielle, montre que pour les habitants de la Bétique le bonheur se trouve dans le nécessaire.

II- Une société idéale :

A. Le mépris de l'argent :

L'antithèse ligne 16 oppose la simplicité contre l'or/l'argent, ainsi que les thermes dédaigner et estimer montre à quel point les habitants de la Bétique méprisent l'argent. L'opposition des champs lexicaux entre la simplicité et l'or renforce cette impression. La modalité négative est au service du rejet de l'or.

B. Les métiers utile à l'homme :

L'énumération des métiers ligne 20, permet de