plan d'action marketing : influences environnementales
L’industrie textile est connue pour être une des plus polluante. Cela est du notamment à une utilisation massive d’eau et autre produits chimiques permettant de traiter la fibre pour la rendre plus confortable, imperméable, colorée, entre autre.
1. L'écologie textile. L’apparition du textile biologique et écologique a permis non seulement de préserver la planète d’une industrie très gourmande en ressource naturelle, mais aussi d’apporter une plus grande transparence des processus de fabrication notamment mis en avant par les distributeurs qui tirent parti d’une production simplifiée de part l’absence de traitement chimique sur les fibres. De ce fait, le marché des textiles biologiques et écologiques ne cesse de progresser, porté par la prise de conscience croissante des consommateurs, informés des risques que les textiles peuvent causer sur la santé et sur l’environnement.
A l’origine, l’industrie textile ne travaillait que des matières premières naturelles, généralement de provenance locale, d’origine végétale (coton, lin, sisal, ramie, jute) ou animale (laine, soie, poils). La part des synthétiques comme les polyamides, les polyacryliques et les polyesters, qui sont toutes issues du pétrole n’a ensuite cessé d’augmenter partout dans le monde.
2. Les 4 principes de l'écologie textile.
Le nouveau label Ecocert sur les textiles biologiques permet aux consommateurs d’identifier les textiles « durables ». Les fibres mises en œuvre sont d’origine renouvelable, transformées par des procédés les plus respectueux possible de l’équilibre de la planète.
L'écologie textile est composée de quatre secteurs : l'écologie de production, l'écologie humaine, l'écologie d'utilisation et l'écologie d'élimination.
L'écologie de production
Elle s’intéresse aux effets des procédés de fabrication sur les hommes et l’environnement, comme la sécurité du travail, la consommation de matières premières, d’eau et d’énergie, le