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La vente me plaît, donc je pense que pour faire ce métier-là, il faut aimer la vente. J’ai bien réussi à m’intégrer dans le système demandé, proposé et appliqué.
Depuis combien de temps êtes-vous dans le milieu ?
Cela fait 23 ans que je suis dans la même entreprise (delzongue). J’ai travaillé d’abord dans des magasins de bricolage donc j’étais plutôt ce qu’on appelle sédentaire et maintenant je vais sur le terrain, les centrales d’achats… Donc ça fait une trentaine d’années.
J’ai commencé commerciale et au bout de 8 ans de commercial je suis passé directeur des ventes.
Quelle a été votre formation ?
Aujourd’hui, les gens qu’on embauche doivent avoir un BTS, de préférence un BTS force de vente mais à l’époque, quand je suis rentré dans l’entreprise j’avais un BEP comptable, donc ça n’a rien avoir avec le métier de commercial. On a beaucoup de personne dans l’entreprise qui n’ont pas été en école de commerce. La vente c’est un métier, je pense, que l’on a en soi. L’expérience est importante. Quand on se retrouve face à un acheteur, on est à l’aise ou pas.
A l’époque on ne nous demandait pas d’expérience mais j’avais une expérience de terrain. Aujourd’hui, quand on embauche quelqu’un, on peut lui demander une expérience ou bien l’entreprise peut former un jeune entièrement.
Rencontrez-vous des difficultés avec vos partenaires ?
On a une double négociation, c’est-à-dire d’un côté, on a une négociation avec les acheteurs dans les centrales d’achats, et de l’autre côté on est acheteur pour l’entreprise. Moi, je reçois mes fournisseurs et négocie avec eux les conditions d’achats. Donc la première difficulté est que je négocie les conditions d’achats des produits avec mes fournisseurs, intéressantes pour l’entreprise et l’autre difficulté est que je négocie avec les acheteurs de centrales, et eux veulent beaucoup de remises et nous