Plus grand monde en europe n'est prêt à mourrir pour la revolution, pour la patrie ou pour dieu
En effet, les propos utilisés attirent l'attention! La majorité des Européens n'est plus perçue comme patriote, mais aussi une population qui oublie le sens du rassemblement pour protester et l'importance de Dieu. C'est ce que Luc Ferry constate,il cite : « Plus grand nombre en Europe n'est prêt à mourir pour la révolution,pour la patrie ou pour Dieu. »
On peut alors se demander si Mr Ferry n'utilise pas la facilité en dénonçant ces aspects au lieu de tenir compte de l'individualisme ,de la paix qui règne et de la place de l'argent dans cette société.
Que plus grand monde en Europe n'est prêt à mourir pour la révolution,pour la patrie ou pour dieu est facile à démontrer; oui mais, il existe tout de même des populations qui sont prêtes à défendre ces causes.
Nous pouvons remarquer que la plupart des européens ne sont prêts à donner leur vie pour la révolution. Ceux-ci sont devenus individualistes et font passer leur bien être personnel au dépend de la majorité.
En effet, lorsqu'il y a une grève, la mobilisation de personnes est devenue très difficile, il n'y a pas autant de gens qui se manifestent que lors des révolutions telle que la révolution Française (1789-1799) ou la révolution d'Angleterre (1642-1649 puis 1688-1689).
Par ailleurs,cela s'explique aussi par « l'individualisme » de notre société, qui connaît une crise d’identité où l’individualisme règne en maître, et au sein de laquelle l’homme ne peut s’empêcher de ressentir un vide et une solitude au goût amer, un vide qu’il tente de combler solitairement à travers une société de surconsommation. Cette surconsommation est le fruit d'une mondialisation, l’homme se replie sur lui-même, il se protège d’un univers extérieur qu’il ne cerne plus, et qui le plonge dans un brouillard épais de doutes et de peurs.
C'est pourquoi,l'individualisation et la mondialisation sont