Ecriture d’invention
Parmi les 4 saisons de l’année, il en est une qui me plait, c’est l’été.
Le soleil levant est totalement différent. Le ciel est d’un bleu inimitable et d’une grandeur indéfinissable.
L’été, le moment où tu fais ce qui te plait. Cette pause délivrante, où tu fais ce qui te chante.
Les vacances approchent, sans aucun reproche. La chaleur s’impose, rien ne s’y oppose.
Vive le bronzage, et les moments à la plage. La mer est chaude, bleue et immense. Et le sable jaune te brûle les pieds tels des cendres chaudes.
Plus de pluie pour empêcher les sorties, c’est enfin la belle vie. Tu peux voir tes amis jour et nuit, plus rien ne l’interdit. Belles soirées d’été, nous revoilà pour vous fêter.
Tu portes des vêtements légers, aucun manteau ne va t’encombrer. Adieu chaussettes épaisses et cols roulés, bienvenue sandalettes et chemisiers. Robes estivales sont d’actualité.
Les repas légers ont commencé, salades d’été et glaces ont débarqué. Tu fais le plein de fruits, tous aussi jolis. Toutes ces douceurs sucrées, t’invitent au paradis de l’été.
Tu annules l’alarme du réveil, tu choisis le moment où tu t’éveilles. Le soleil à peine levé, les oiseaux se mettent à chanter.
Toutes ces fleurs aux multiples couleurs s’exhibaient comme des nymphes baignées de douceur. Mon odorat alors sensibilisé évoluait vers un monde de sensualité et de volupté où même le roucoulement de la colombe n’arrivait à m’en extirper. Je restais assise à contempler ce paysage empreint de beauté et de sérénité et devant une telle majesté je ne pouvais résister au plaisir de m’allonger dans cet Eden qui respirait la grâce et la générosité. Rossignols, tourterelles, papillons, abeilles, fourmis, du plus grand au plus petit chacun menait sa vie. Cet air si pur, cette nature si douce, m’accompagnaient alors dans les bras de Morphée.
Je me réveillai soudain par une sensation de fraicheur, et vis ce spectacle merveilleux au soleil couchant, sous une multitude de couleurs tel cette