Une limace dans la forêt de promenait
En chanssonant une mélodie de printemps
Un éléphant intervient , lui priant de cesser ce son assourdissant à forde de temps
Et de laisser ce couplet à la cigale qui passait
"Ma voix n'est - elle pas mélodieuse ? "
Dit la limace furieuse
"ma chère! Repond l'éléphant , Je ne suis point le phénix des hôtes de ces bois ,
Mais ma voix est comparable à la richesse d'un bourgeois"
La limace eut une toute autre réponse à ce discours
"Je ne serais pas moins malheureuse
Lorsque la guerre surviendra je serais d'autant plus minutieuse
Et vous en revanche , vous serez pris de cours
Puis n'aurez pas de place pour vous cacher "
"Et vous ! Vous vous ferez écraser sans aucune pitié
Des petits morceaux de votre corps viusqueux ejectés
Car moi je peux , de ces hommes me faire aimer "
L'éléphant satisfait de ces mots
Poussa un barissement qui résonna dans l'immense forêt
La limace n'ayant plus les mots
Continua sa promenade et repris son couplet
La limace presque aveugle heurta un sac
D'un humain posé par terre
Elle trouva une idée ! Clac !
Pour pouvoir le faire taire.
C'est alors que sur le sac elle se hissa
Ne manquant pas de guetter l'éléphant
Quand l'humain reviendra
Elle pourra de nouveau aller de l'avant.
La limace sur le dos de l'humain passa près de l'éléphant en disant :
"Hé ! Bien le bonjour monsieur ! Voici que je m'en vais
Pour découvrir d'autres terres , me dapaysant
Et à tout jamais pour vous je chanterais .
En souvenir de vous coincé ici
Abandonné et sans famille
Moi je me suis fait adopté ! oui !
Vous , vous vous contenterez de fourmis et de chenille !

A trop vouloir se sur estimer on n'ira pas plsu loin que le bout de son nez