politiques de developpement durable
484 mots
2 pages
Les pays les plus développés tels que le Canada et les Etats-Unis ont une grande responsabilité dans la dégradation de l’environnement. En effet, le mode de vie de ces sociétés et la manière dont elles organisent leur économie est bien loin de correspondre à la notion de développement durable.qui mérite l’étiquette de durable car il fournit un cadre de vie à l’homme afin qu’il puisse prospérer et vivre en harmonie avec la nature plutôt qu’à ses frais, et qu’il permet de transmettre un patrimoine préservé aux générations futures) tend à concurrencer le concept de développement. Ce développement durable touche de nombreux domaines : l’environnement, le transport, le tourisme, la ville… et combinent des préoccupations environnementales, économiques et sociales, voire politiques et culturelles.Quarante ans après son émergence, le concept de développement durable n’a pas encore relevé le défi de sa définition : on peut l’appréhender comme un processus de réappropriation du long terme, cumulatif, fondé sur des préoccupations environnementales, sociales et économiques. Un concept pléthorique qui touche tant les questions relatives aux énergies fossiles qu’à la lutte contre la pauvreté ou qu’à l’augmentation des richesses. La liste n’est pas exhaustive, bien au contraire elle s’allonge au fil des intérêts défendus par les acteurs. La diversité des approches nous conduira à isoler un composant au travers duquel cette question sera appréhendée, il s’agit du réchauffement climatique. D’emblée, il s’agit de voir comment combiner dans ce concept les notions antagonistes de « développement » et de « durabilité » sachant que le développement ne peut se dire totalement durable dans la mesure où, par définition, il fait appel à des moyens de productions destructeurs. Son enjeu principal renvoie ainsi à la problématique du temps. Un temps immatériel qui se dérobe mais avec lequel l’action de l’homme doit composer en tant
qu’instrument