La vie n’est pas toujours remplie d’événements heureux que ce soit un mariage, ou la naissance d’un bébé. On a parfois à affronter des événements auxquels on aurait préféré ne pas être conviés, auxquels on ne voudrait pas être présent et pourtant, on ne peut pas se cacher dans le déni, on doit les affronter de pleine face, faire avec, s’adapter et essayer de surmonter tout ça. Le décès d’un père ou d’une mère, d’un grand père ou d’une grand mère, de sa sœur ou son frère, son enfant, un autre membre de la famille ou encore un ami.
La mort, définie comme l’arrêt total des fonctions de nos organes est un processus naturel et inévitable. On ne peut y échapper, c’est chacun notre tour mais on ne sait pas quand. La mort nous affecte tous, plus ou moins, selon nos personnalités, notre métier, l’affinité que l’on peut avoir avec la personne décédée…
Pour l’organisation des obsèques il faut prévoir un cercueil type selon le mode de funérailles souhaitées (inhumation ou crémation).
Cette matinée j’ai pu assister à la mise en bière d’un défunt pour la cérémonie de l’après midi. Le dernier moment où le défunt est visible est la mise en bière, également appelée mise en cercueil. Celle-ci est suivie de la fermeture du cercueil puis de la levée du corps. Selon le Code général des collectivités territoriales, la mise en bière d'un défunt est obligatoire avant son inhumation ou sa crémation. Le corps est placé dans un cercueil choisi par la famille − sauf dans certains cas (décès à l'étranger, maladie contagieuse : le cercueil est obligatoirement en zinc).
Après le recueillement de la famille en début d’après- midi le cercueil est déposé dans la cour du site, il est fermé avec des fleurs posées et des photos posés sur le dessus. Les membres proches du défunt et ses amis entourent l’être cher. Les agents des pompes funèbres se tiennent sur les côtés.
La cérémonie commence, un conseiller municipal nous rappelle succinctement le parcours du défunt, il en fait sa brève biographie