Popoli
L'artifice euphorique qui assagit ta frénésie...
J'attente à tes yeux injectés de sang, détourne le flux de tes globules blancs.
Je coule à flots, à bord de tes vaisseaux, retiens ta respiration, direction le cerveau.
Invasion de ta boîte crânienne par mon armada, notre nom : le Tétra-Hydro-Canna!
L'air s'embrume mais pas de soucis j'ai de la ressource je plonge en apnée quand la pièce s'enfume, consomme et consume quand sonne la cloche du pénitencier.
Yo, c'est ça, la mif effrite, passe le cannabis.
Passe le brad gros que je retourne à l'état natif.
Car mes pensées s'éclaircissent quand les ténèbres m'envahissent, et si mes frères partent en bad trip, c'est qu'ici surgit l'apparition abyssale !
J'ai des problèmes, je suis le genre de mec que personne aime, la fumée dense blanche m'obsède quand elle danse dans la chambre mais ça m' plait, pour être honnête.
Bad boy !!! L'atmosphère calme charme les âmes frêles des filles du littoral qui assouvissent leur appétit charnel une seconde après le big bang dans l'encéphale,
(mur de Planck) la fumée parfumant l'espace comme de l'encens.
Ça s'affaire dans l'industrie et tu reconnaît que c'est de la tuerie, quand ça crépite, que la durite chauffe, surprise! : Lap débarque en furie!
C'est une belle nuit, je me dois de faire vite, avant que le bad m'emporte, si tu m'entends, l'histoire ne reste pas sans suite