Pour convaincre est-il préférable d'illustre son point de vue à travers une histoire ou de présenter directement des arguments ?

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Question → 1. Quels sont les points communs être ces trois récits ? Les trois textes sont des fables écrit en vers qui reproduisent la structure habituel d'un apologue. Ce sont des récit suivit d'une morale. Dans les 3 textes ils y a de jeunes enfants, qui sont a chaque fois les victimes, peut être pour avertir les parents ? Les 3 titres se ressemblent Les trois textes comportent des animaux humanisés ou des créature de compte de fée qui appartiennent a un monde merveilleux. Pour finir on voit nettement la loi du plus fort, c'est la faim qui va poussaient Le loup, le crocodile, l'ogre a manger des jeunes innocents. → 2. Comparez les différentes leçons de ces trois textes. Tout d'abord les morales ne sont pas présenter de la même façon, nous avons Jean de La Fontaine qui nous met directement la morale au début. Contrairement au texte 2 et 3, dans le texte 2 nous avons la morale qui se présente a la fin de la fable, puis dans le texte 3 nous avons carrément la morale détacher du reste. Certes les 3 morales nous passe un message sur un fait identique « la loi du plus fort » un des personnages en a mangé un autre, plus faible, et c'est autour de ce constat criminel que tourne la « leçon » donnée. Mais le message transmit lui est différents. Jean de La Fontaine veut nous montré une morale centré sur la société en nous mettent des le début dans la contexte « la raison du plus fort est toujours la meilleure » il nous livre a travers cette phrase sa vision du monde et des rapports de force dans la société. Florian nous donne une morale qui ne se livre pas sur la société mais plutôt sur le « méchant » dans son texte le méchant est représenter par le crocodile qui a des remords sur le faite de ne pas avoir était assez criminel. Hugo lui pour terminer nous donne plutôt une leçon de vie. Il utilise le merveilleux de façon humoristique pour nous faire comprendre qu'on ne doit pas toucher aux biens des autres.

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