Poéme XVII les fleur du mal
Le premier quatrain commence par un "je" orgueilleux, "je suis belle", Baudelaire incarne la beauté dans le corps d'une belle femme il s'agit d'une allégorie. Cette femme se vante et se compare à une pièce sculptée, et dont la beauté inspire tous les auteurs, ici Baudelaire dit que rien ne pousse l'auteur à écrire que la beauté elle-même.
Il personnifie la beauté par le corps d'une femme qui parle(sein,cœur,pleure,ris,mes yeux)ce qui donne un caractère de vivacité à la beauté.
la deuxième strophe est aussi commencé par le même "je" et lui accorde la souveraineté (je trône dans l'azur), la beauté pour lui est la plus suprême ,il utilise une deuxième comparaison et cette fois ci à un sphinx, il il prend cet animal qui est symbole de force et de beauté en même temps, selon lui, ce qui est beau est surement fort.
Baudelaire parle du travail du poète comme dans plusieurs de ses poèmes (les poètes, devant mes grandes attitudes /consumeront leurs jours en d'austères études).Le poète ne peut obtenir la beauté dans son poème qu'après grand travail. Ainsi dans le dernier tercet, la belle femme parles de ses amants, ceux qui cherche la beauté,(car, j'ai pour fasciner ces dociles amants)elle a pour eux de purs miroirs
(de pur miroirs qui rendent toutes les choses plus belles).
Le deuxième emplois du mot "éternel "affirme ce caractère de perpétuel de ce qui est beau.
Le mot "yeux" désigne le sens de la vision, alors que dans un poème selon l' auteur, ce que l' on voit de prime est la forme. Il emplois un champs lexical de poésie (poète,études,ligne)
Conclusion :
Dans ce poème extrait de la section Spleen et Idéal, le poète maudit s'attaque à définir la beauté, l'un