Poëme
Tu es ma vie, tu es ma joie, tu es ma souffrance, tu as illuminé mes jours et tu les as remplis d'un parfum qui enivre, un parfum qui fait aimer la vie, qui la fait trouver belle, même quand les circonstances sont dures ou quand on se sent mourir.
Petite Aimée, tu es la compagne que j'avais toujours rêvé pour traverser la vie, et, oui, je t'aime...
Aimer, c'est se donner corps et âme, c'est s'identifier à l'être aimé, c'est souffrir quand il souffre, c'est être joyeux quand il rit, et c'est aussi triompher de joie lorsque l'on sent quelqu'un vibrer comme toi... Aimer...
C'est tout ce qu'on peut imaginer de plus doux, de plus fort, de plus beau.
C'est le sacrifice et l'attachement d'un être uni à un autre pour la vie...
Dis-toi bien tout cela, et dis-toi bien qu'avec l'amour que j'ai pour toi, je me sens plus fort et je me sens meilleur.
Pourtant tu as fait de moi un homme malheureux et meurtri de ce bonheur béat et végétatif mais surtout de ce bonheur actif, puissant et fort que l'homme convoite tant sur terre.
Mon amour de chair, toi seule dont les baisers pourraient me rendre fort; Mon amour d'esprit, toi dont j'aime toute la grâce, la générosité et la beauté profonde, je t'aime... Je t'aime...
Personne n'a besoin d'écrire sur toi pour que ta vie ait une signification. L'amour que j'éprouve pour toi sera toujours là, l'étincelle de quelque chose d'indéniable, une graine d'espoir, une vérité, pour le meilleur, et pour le pire qui brûle farouchement à la surface.
Je voudrais mordre tes lèvres et boire dans ton baiser la force et le