3ème partie
Eléments en adéquation avec le projet : il faut arriver à conjuguer les études et la vie professionnelle. Dans mon cas c’est un système que j’essaie de mettre en œuvre. Travaillant dans un collège et donc au contact des élèves il faut être à leur écoute. Dans le monde judiciaire c’est un élément très important. Les élèves ne se rendent pas toujours comptent de leurs erreurs et il faut arriver avec diplomatie à leur faire comprendre. Le droit comme je l’ai dit précédemment est d’abord une équité. Cette équité doit être mise en application avec les élèves. Par exemple je ne peux pas si je préfère un élève lui donner raison si il a tort vi à vis de l’autre élève. Avant de travailler dans un collège j’ai été équipière chez McDonald. Il fallait souvent prendre des initiatives ce qui à mon avis doit être le cas dans le monde judiciaire. Je pense réussir à conjuguer initiatives, application de l’équité aussi bien dans ma vie professionnelle que dans mes études de droit.

Besoins : dans la première partie on nous demandait d’énumérer nos défauts. Parmi eux j’avais cité l’impatience. Or en droit comme dans la vie de tous les jours, la patience est une qualité. Je dois donc apprendre à en avoir et ne pas foncer tête baissée. Patience rime également avec diplomatie. La patience permet de résoudre beaucoup de problème et la diplomatie permet bien souvent d’obtenir un résultat. Etre diplomate est un atout qui s’apprend mais qui n’est pas toujours pour moi facile à mettre en application. Je dois également apprendre à prendre confiance en moi. Je n’arrive pas toujours à m’imposer vis-à-vis des autres. Je n’arrive pas à me mettre en avant et bien souvent je panique à l’intérieur et n’arrive pas à prendre une position sereine. Manques : je pourrais me définir comme quelqu’un de cartésien. Pendant mes études secondaires, j’ai eu droit à faire de la philosophie. Je ne comprenais pas pourquoi on se posait les questions du pourquoi, comment à propos d’une