La ville traverse les époques et c'est cette longévité qui a donné envie aux poètes de chanter leurs splendeur.
J’ai choisi le texte de Joachim du Bellay car malgré qu’il fut écrit au XVIème siècleil décrit l’émerveillement et la diversité culturelle qui sont présent encore a l’heure actuelle dans la ville de Paris.
Le second poème lui décrit Paris telle qu’elle est toujours : une grandeville ou il a toujours du mouvement et on ressent celui-ci par la manière dont est écrit le poème (l’accumulation « on y »).
Rimbaud traite la ville comme quelque chose de monotone, de sinistre. Le poèmeest imagé et on imagine sans difficulté une ville sombre (charbon, ombre, nuit) très peuplée.
Le texte d’Apollinaire m’a plu car il est très fluide, il évoque beaucoup l’élément liquide. Et lasituation s’inverse au fil du poème on passe de l’amour à la solitude, de la rencontre à la séparation mais avec la présence d’un élément fixe : le pont de Mirabeau.
Dans ’’New York ‘’ le poète décrit lesconséquences de ces grandes villes, les aspects négatifs il compare le fleuve de l’Hudson au sang des animaux sacrifiés pour nourrir la population de New York. Le poète dénonce de manière violente cesystème « je vous crache au visage ». Ce poème est différent des autres car il a une portée morale.
Maurice Carême oppose la nature et le modernisme : l’auto, le tramway l’avion au nickel, l’ivoireet l’or. J’ai l’impression qu’il oppose aussi l’ancienne génération symbolise par la vieille dame qui voit à travers son rideau et la nouvelle génération qui se presse sans porter attention à ce quel’entour. Certains éléments du poème paraissent fantastique : «la main inconnue, l’ange, le grand oiseau noir».
Dans son poème Prévert traite le Seine comme si elle était un habitant de temps Paris,quelqu’un tantôt pressé tantôt attentif, parfois malheureux puis un autre jour quelqu’un qui éclate de rire. Il décrit la vie d’un Parisien de manière