Vladimir Pétrovitch, un homme d’une quarantaine d’années, raconte l’histoire de son premier amour qui n’a pas été un amour banal.
Au début de l'été 1833, Vladimir Petrovitch, âgé alors de seize ans, prépare presque pas ses examens d'entrée à l'université dans la propriété de ses parents, non loin de Moscou. Il tombe éperdument amoureux de Zénaïda, jeune femme de vingt-et-un ans d'une singulière beauté, qu'il observe de derrière la palissade séparant son jardin du parc. C'est en fait sa voisine fraîchement installée dans la maison à coté et qui vit là avec sa mère, la princesse Zassiékine, personne fauché réduite à une existence misérable.
La jeune fille réunit fréquemment chez elle nombre d'adorateurs qu'elle s'amuse à rendre jaloux ou qu'elle pousse par jeu à commettre quantité de sottises. Vladimir passe de nombreux moment avec elle mais n'arrive pas avouer ses sentiments en vers elle et un jour il essaye mais Zenaida lui dit qu'il est trop jeune pour elle mais lui dit de devenir sa page(Jeune noble au service d'un seigneur). Et un jour elle rencontre le père de Vladimir, un homme séduisant et autoritaire. Elle succombe à son charme et ils finissent quelques jours plus tard par se donner rendez-vous dans le jardin, à l'occasion d'une nuit.
Vladimir, qui les a espionnés, devient fou de rage en constatant la terrible vérité. Ce n'est qu'après avoir repris ses études qu'il parviendra à guérir de cette blessure et à se dégager de l'ensorcellement de cette passion dévastatrice. Quant à Zénaïde et à son père, ils sont tous deux frappés par un sort tragique :
-Vladimir retrouve ZénaÏda au theatre et decide de la revoir mais les empêchement se sucéde et quand Vladimir va à l'hotel pour la retrouver on lui dit qu'elle s'est entre-temps mariée et qu'elle est morte en acouchant,
-son père succombe à une attaque cardiaque, sans laisser à son fils une dernière lettre dans laquelle il l'encourage à se garder de