Premier roman laval
Introduction :
L’époque a fait passer sur nous des rouleaux compresseurs... La guerre, la possibilité industrielle de la Mort, les camps et les charniers, la fin des Espoirs de partage, les colonies délitées...
Un flot de sang et de dollars a corrompue le monde... La fin du temps béni, nul ne le savait à l’époque... Moi j’espérais tirer un morceau de galette du merdier général, je portais de l’Espoir...
Lamya | Agathe | Les Soleils d’une sale ivresse Dans la cuvette aux matins sombres | S’effacent lorsqu’on tire la chasse Tout est perdu, tout est perdu |
Périmé, périmé, rimé, rimé
A nous ôter l’envie de vivre
L’envie, vie, de vivre, vivre
Où es-tu mon Amour, Amour ? Je suis la mauvaise main, mauvaise Je suis le bon à rien, bon... à rien | Où es-tu mon Amour ? Je suis le mauvais, mauvais Le mauvais joueur de cartes |
Où es-tu mon Amour, Amour ?
Je sais ne sais pas tenir sans Toi, sans toit...
Où es tu mon amour, amour ? Je suis la mauvaise main, mauvaise Je suis le bon à rien, bon... à rien | Où es tu mon amour ? Je suis le mauvais, mauvais Le mauvais joueur de carte |
Où est tu mon amour, amour
Je ne sais pas tenir sans toi, sans toi
Refrain :
J'aime entendre les cris Les cris de tes os | J'aime entendre l'écrit L'écrit de ta peau |
J'aime entendre claquer
Claquer comme un fouet, sur moi
Dans un geste élégant | Ta caresse en noir et blanc |
Glisse, glisse et reglisse... Les archers des cœurs brisés, brisés Accablés par un ciel en fuite, fuite Versent des larmes au bord des armes, larmes, armes | Tes mots d’amour comme un couteau, couteau Saignent mon cœur comme un pourceau, pourceau Ce monde est pourri t’façon |
L’Espoir, quel Espoir ? l’Espoir de quoi ?
Qui peut voir l’Espoir avec toutes ces conneries qui nous submergent ?
Retenir, retenir, tenir Maintenir, maintenir, tenir Je n’ai pas su te conduire | Je