TED VANDELEENE
La communication signifiante
601-ZAA-MQ

CRITIQUE LITTÉRAIRE
Travail (10%)

Travail présenté à
M. Vincent Royer

Techniques de comptabilité et de gestion
Cegep régional de Lanaudière à Terrebonne
Le jeudi 1 octobre 2012
Durant la deuxième guerre mondiale, les juifs ont subies des horreurs partout en Europe. Ils ont été méprisés et traités comme des animaux dans les guettos et les camps d’extermination. Primo Levi est l’un des juifs qui a réussi à ressortir en vie d’un des camps de concentration des nazis et des fascistes. D’ailleurs, ce jeune italien a écrit un récit autobiographique qui s’intitule Si c’est un homme et qui relate les événements durant son emprisonnement dans le camp de travail à Auschwitz en Pologne. Cette œuvre est très particulière car elle évoque toutes les atrocités de la déshumanisation. En d’autres mots, l’auteur témoigne de la lutte et l’organisation qu’il a engagé pour survivre dans le camp de travail, c’est-à-dire de ne plus vivre comme un homme pour survivre dans cet environnement sans pitié.

J’ai bien aimé le récit autobiographique, car il est vrai. D’après mes observations, l’auteur n’a jamais recherché à dénigrer les nazis et les fascistes dans son œuvre, car il s’est exprimé ainsi à la préface : ‘‘Je ne l’ai pas écrit dans le but d’avancer de nouveaux chefs d’accusation, mais plutôt pour fournir des documents à une étude dépassionnée de certains aspects de l’âme humaine’’. Primo Levi explique qu’il écrit ce livre dans le but d'avancer les études sur les êtres humains. Il qualifie cette étude comme étant dépassionnée, car l’histoire du l’œuvre reflète les tragédies dont l’homme est responsable. Grâce à cette citation, les faits dans le récit m’ont paru beaucoup plus crédibles et sans aucune exagération. Ainsi, j’ai réalisé que l’être humain a un côté sombre en lui et celui-ci ressort dans les cas extrêmes (danger de mort).

D’un autre côté, j’ai apprécié ce livre, car il a su me donner une