La Princesse de Clèves,
Mme de La Fayette, 1678

Partie I :
1558 : roi est Henri II (dernières années de son règne)
Mlle de Chartres, orpheline de 16 ans, élevé par sa mère selon de rigoureuses règles de morales, (« La plupart des mères s'imaginent qu'il suffit de ne parler jamais de galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Madame de Chartres avait une opinion opposée, elle faisait souvent à sa fille des peintures de l'amour, elle lui montrait ce qu'il a d'agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu'elle lui en apprenait de dangereux (...). ») Le Prince de Clèves (honnête, grande droiture morale) tombe amoureux d’elle dès qu’il l’aperçoit. Ils se rencontrent pour la première fois chez un marchand de bijoux. Et ils se renvoient ensuite chez la sœur du roi : Marguerite de France et découvre le chevalier de Guise comme rival. Elle paraît pour la première fois au Louvres. Il la demande en mariage ébloui par sa beauté. Elle n’a aucune expérience de l’amour et accepte sans être amoureuse. La cérémonie se déroula au Louvres.
Mariée, Mme de Clèves rencontre à la cour le duc de Nemours lors du bal donné pour les fiançailles de Claude de France avec le duc de Lorraine. Ce dernier devait se marier avec Elisabeth d’Angleterre sous les conseils du roi de France pour une affaire d’Etat et il revient juste de Bruxelles où il s’occupait de ce dessein. Le roi invite Mme de Clèves et M. de Nemours à danser ensemble. Ils tombent amoureux. Mme de Chartres découvre cette passion et met en garde sa fille su danger illégitime.
Le maréchal de St André (autre soupirant de Mme de Clèves) organise un bal pour montrer sa richesse, sa magnificence mais cette dernier prétexte être malade pour ne pas s’y rendre en partie car M. de Nemours n’y sera pas.
Avant de mourir, sa mère conjure la princesse de lutter contre cet amour (« Ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu’ils vous paraissent d’abord : ils seront plus