A) Les entreprises qui ont innové améliorent leur compétitivité (effets microéconomique du PT sur l’offre), donc accroissent leur production

o Les innovations de produit stimulent la qualité de l’offre [compétitivité hors prix] : les entreprises innovantes présentent un nouveau produit, qui va attirer à lui une clientèle nouvelle et donc ouvrir un nouveau marché.

o Les innovations de procédé permettent à l’entreprise innovante de faire des gains de productivité, donc de produire avec mois de facteurs.

a Voir le document n°1 : L’exemple des NTIC. Non seulement gains de productivité pour les entreprises productrices de technologies innovantes, mais aussi les industries traditionnelles qui s’équipent.

Permet de changer leur façon de produire et de distribuer leurs produits (c’est par exemple un outil qui peut accompagner la réorganisation du travail pour produire à flux tendus). C’est aussi un moyen de baisser les coûts de transaction entre entreprise, à l’intérieur de l’entreprise (voir couts)

o L’exemple de la croissance américaine depuis la fin des années 1990.

a Illustration à l’aide du document n°2

Néanmoins, on peut ici évoquer que les effets du PT n’ont pas été immédiats. Les entreprises américaines réalisaient des investissements en NTIC depuis a fin des années 1980 sans effets sur la productivité (présentation et explication du paradoxe de Solow – 1987)

B) Au delà des entreprises innovantes, c’est toute l’offre d’une économie qui est stimulée par le PT

o L’analyse de Schumpeter : a montré au début du 20ième siècle que ce sont les innovations qui sont la principale source de la croissance dans les économies capitalistes

Ø Chaque révolution industrielle est déclenchée par une grappe d’innovations : définir et décrire les grappes d’innovation et expliquer la phase ascendante du cycle

Ø Cette croissance est cyclique : expliquer le retournement du cycle

a Utiliser le document n°3