projet
L’essor d’associations et autres actions à but non lucratif remettent en question ce rapport, compte tenu de l’aspect bénévole du travail. S’il y a différentes formes de changement : imposés, négociés, ils sont vécus de façons différentes.
Quelles sont aussi les réactions des salariés face à ces dits changements, que l’on soit rémunéré pour son travail ou bénévole dans une action ?
La spécificité des associations, ou l’association vue comme une entreprise particulière
Les principes fondamentaux des associations n’ont pas changé mais évolué et adapté à un nouvel environnement.
Concilier l’économique et le social, à gestion à but non lucratif pour la réalisation d’actions solidaires.
L’association fonctionne sur la base de bénévoles et de salariés
Elle est caractérisée par deux paramètres dominants.
Une structure politique, divisé entre les élus bénévoles et les salariés qui composent le dispositif technique. Ensuite, un environnement marqué par la présence d’acteurs multiples on parle donc d’un « gouvernement bicéphale », qui constitue une particularité propre à l’entreprise associative, qui est caractérisé par le partage du pouvoir et de la décision entre les instances politiques et les instances de direction et garantit ainsi la légitimité des différentes catégories d’acteurs.
L’association gère trois principes de comportements économiques
- l’économie marchande qui correspond à l’« économie dans laquelle la distribution des biens et des services est confiée au marché » ;
- l’économie non marchande qui correspond à l’« économie dans laquelle la distribution des biens et des services est confiée à la redistribution organisée sous la tutelle de l’Etat-providence » ;
- l’économie non monétaire qui correspond à l’« économie dans laquelle la distribution des biens et services est confiée à la réciprocité et à