Propos comme cadonne
Enfin, le texte se conclu sur le produit de cette méthode dans les faits (l.14 à 19). En premier lieu, la recette de l’absence de chagrin réside dans la capacité de l’homme à faire abstraction aux sentiments qu’il rapporte aux choses.Tout d’abord, l’auteur expose sa thèse et sa méthode pour se débarrasser de la souffrance psychologique . L’auteur affirme l’idée selon laquelle, la souffrance de l’homme, si elle n’est pas liée à une douleur physiologique, mais à une « chose extérieure » (l.1) n’est qu’imaginaire et peut être évitée. En effet, l’auteur aborde la « peine » (l.1) qui renvoie à une souffrance morale donc à un chagrin et non pas à une douleur …afficher plus de contenu…
Cela permet au lecteur d’aisément s’identifier et d’être juge du fait que la thèse peut lui être applicable. De surcroît, dans cet extrait du texte, l’auteur emploie des tirets pour mettre en scène une forme de discussion avec lui-même en introduisant les réactions communes que pourraient avoir ses lecteurs. Ses tirets sont comme des guillemets introduisant des arguments généraux qui s’opposent à sa thèse. L’utilisation du pronom « tu » accentue cette idée de discussion. Ainsi, le texte introduit que la capacité à faire abstraction de ses sentiments et à corriger sa pensée semble être insurmontable face à l’« obstacle puissant » (l.5) qui s'oppose à l'action et qui empêche d'atteindre le résultat. L’auteur répond à cette objection en développant que si l’obstacle est extérieur au sujet, alors il ne peut pas agir. Ce à quoi la voix qui s’oppose à ses