4. Le rêve

Plusieurs discipline aujourd'hui s'intéresse au rêve. Mais ce qui a fait que le rêve a acquis une place importante dans la clinique est le fait que c'est a la fois l'expérience la plus intime et la plus universelle.
Tout être humain rêve, d'un bout a l'autre du monde. Le rêve est une expérience universelle.
Un grand rêveurs, ou un non rêveur la simple mention du rêve renvoi a quelque chose que l'on connait, que l'on a déjà éprouver, qui nous appartient.
Chacun, sait a qu'elle point le rêve peut être une expérience personnelles, extrêmement intime (du coté de l'histoire personnel, de la jouissance personnel), le rêve renvoi chacun a son intimité la plus personnelle, la plus absolue.
Il faut bien séparer, ce qu'il en est du fonctionnement neuropsychologique humain qui permet l'expérience du rêve a l'expérience psychique du rêve.
Bien séparer le niveau neurophysiologique du rêve et l'expérience psychologique , le vécu psychique du rêve et le sens. De la même manière, bien séparer entre les fonctions proprement neuropsychologique du rêve (processus de maturation de l'expérience) et puis les fonctions proprement psychique du rêve, par exemple dans l'élaboration de nos désires, angoisses, désespoir, ambitions…
Nous sommes face a un phénomène qui est d'une telle complexité que l'on ne peut pas envisager de le contenir dans un seul type.
En clinique ce qui nous intéresse est le versant, du sens.
La place du rêve est aussi la place du langage du rêve, c'est a dire que le rêve s'avère une voix de mise en expression de la position subjective que nous avons dans le sujet. Cette expression utilise des moyens, hétérogène, de ceux de notre expression contrôler, rationnelle, langagière que nous utilisons dans la journée.

Le rêve est un monde dans lequel extérieur et intérieur ne sont pas clairement définit, tout comme le présent et le passé, le sexe (homme ou femme), animal ou humain. Les barrières qui nous paraissent dans la journée (le logique…),