Psychsociologie de la publicité
Ainsi un des premiers mécanismes qui a de l’effet sur le consommateur est la couleur. Les couleurs sont apparentées dès le plus jeune âge chez l’enfant à une sensation de chaud ou de froid. L’exemple des multiples couleurs utilisées pour les maisons du sud de la France tel que le jaune, l’orange, le jaune-orangé, rappellent la chaleur du climat océanique. Mais les couleurs ont aussi des significations bien précises, qui peuvent renvoyer a des origines historiques ou à des sensations ; Elles sont sources de symboles universels et particulier à la fois, ainsi que d’émotions. Olivier Saguez dans son livre marques et couleurs (paru aux éditions du Mécène en 2007), explique le choix des marques à s’attribuer une couleur comme un premier engagement auprès du consommateur, ainsi que son choix a appliquer certaines couleurs dans ses publicités pour les sens qu’elles évoquent à ceux qui les visionnent, et ressentent des émotions face a celles-ci. Si les couleurs jouent un rôle important dans les publicités, elles ne sont pas seul facteur qui pousse le consommateur à acheter. Les formes mises plus ou moins en avant par les publicitaires jouent un autre rôle, comme la loi de la bonne forme (dont toutes les autres lois découlent) : repérer dans un visuel une forme qui est récurrente, et qui revient, sur le mode de la redondance autour de quoi tout s’organise (forme rectangulaire, carrée, ronde, informe, tache, etc…). Il y a aussi la loi de la continuité : le consommateur perçoit une forme continue à travers des lignes, et les continuent inconsciemment sans s’en apercevoir car son cerveau est stimulé par des points rapprocher qui tendent à des prolongements. Ces 2 lois sont les plus