Publicité comparative
Titre article : Publicité comparative : ce que la loi autorise
Auteur : Sophie Louet Source : Le Point Date : 18/02/2009
RÉSUME DE L’ARTICLE
La publicité comparative est utilisée de nos jours, mais plusieurs règles sont à respecter. Les produits en faisant l’objet, doivent porter sur des caractéristiques essentielles, pertinentes, vérifiables, être vendus dans les mêmes conditions et être similaires. Les conditions de validités sont : loyauté, véracité et objectivité. Cela n’est valable que dans le cadre d’une publicité qui touche au code de la consommation, que cette dernière compare le produit ou service, directement ou implicitement. Malgré tout, la loi nous rappelle qu’il est préférable de reconnaître le caractère comparatif pour toutes actions en justice du fait d’un dénigrement ou d’une concurrence déloyale. En effet, la publicité comparative n’est licite que si « elle n’est pas trompeuse ou de nature à induire en erreur », l’annonceur doit prouver la validité de la comparaison grâce à des éléments mesurables et quantifiables. De nombreuses publicités sont jugées illicites et seulement certains cas sont clairement stipulés comme formellement interdits (soldes).
PROBLÉMATIQUE DÉGAGÉE
La publicité comparative sert-elle d’entorse à la moralité des annonceurs ?
INTÉRÊTS
Montrer que si la loi ne mentionne pas dans ses textes précisément tous les cas interdits, les publicitaires en profitent pour oublier toute déontologie. De ce fait une fois les publicités diffusées, elles font l’objet d’affaires en justice, qui donne la possibilité d’élargir la loi et servent d’exemple.
CONCLUSION
Toujours montrer sa différence est une stratégie efficace dans l’éclaircissement de la promesse de l’annonceur et en plus de la publicité elle même, le moyen de mette son « plus » produit au centre de sa communication, de plus elle permet une guerre « loyale » entre