Publius ovidius naso
1° Vie d’Ovide -Un enfant destiné au droit
Né en 43 av JC, à Sulmone
Naso, surnom hérité d’un de ses aïeux, vient de la proéminence de son nez.
Famille de chevaliers relativement aisée
Envoyé à Rome, avec son frère Lucius, pour son éducation
Penchant pour la poésie, mais il consent à étudier pour le barreau : volonté de son père, qui pensait que la poésie était une occupation stérile
Promesse de renoncer à la poésie mais il n’y arrive pas : «Les mots, dit-il, venaient d'eux-mêmes se plier à la mesure et faisaient des vers de tout ce que j'écrivais »
Son père est irrité par cette vocation, et Ovide s’engage en vers à ne plus en faire
Sénèque l’Ancien nous apprend qu’Ovide aurait réussi à surpasser son dégout pour le législatif, et qu’il aurait plaidé avec succès pour quelques causes
-Voyages formateurs, apprentissage au coté de grands orateurs, et charges de magistrature
Majorité des biographes accordent à Ovide comme maitres
Plotius Grippus dans l’art de l’éloquence,
Quintilien dans l’art du jugement,
Arellius Fuscus dans l’art de la diction élégante,
Portius Latio dont Ovide mit en vers la plupart de ses phrases.
Perfectionnement dans l’étude des belles lettres et de la philosophie à Athènes,
Visite avec le poète Macer les ppales ville de la Sicile, de la Grèce et de l’Asie Mineure.
Retour à Rome, car aucune ville ne semble pouvoir rivaliser avec, à ses yeux
Les charges dont il fut revetu appartiennent à la magistrature
Fonctions de Arbitre Juge Triumvir Elu ensuite membre du tribunal suprême des centumvirs, puis des décemvirs : sa dernière charge.
Il refuse de devenir Sénateur, alors que sa naissance l’y appelait, car il croit ne pouvoir remplir cette charge assez brillamment.
-Tomis, exil et décès
Exilé sur édit d’Auguste en mai 9 ap JC, (pas un arret du Sénat, ni sentence tribunal)
Différent de bannir, car il conserve ses biens et ses esclaves
Ses œuvres sont retirées des trois