Qerrgaergg
Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode.
Les chiffres romains étaient un système de numération utilisé par les Romains de l'Antiquité pour, à partir de seulement sept lettres, écrire des nombres entiers (mais pas le zéro, qu’ils ne connaissaient pas ; ou plus exactement qu’ils ne considéraient pas comme un nombre).
La numérotation a été normalisée dans l’usage actuel et repose sur quatre principes :
Toute lettre placée à la droite d’une autre figurant une valeur supérieure ou égale à la sienne s’ajoute à celle-ci.
Toute lettre d’unité placée immédiatement à la gauche d’une lettre plus forte qu’elle, indique que le nombre qui lui correspond doit être retranché au nombre qui suit.
Les valeurs sont groupées en ordre décroissant, sauf pour les valeurs à retrancher selon la règle précédente.
La même lettre ne peut pas être employée quatre fois consécutivement sauf M.
Lettre d’unité : I est une unité pour V et X, X est une unité pour L et C, C est une unité pour D et M.
L'entrée du Colisée, avec le chiffre LII (52)Sommaire [masquer]
1 Origine
2 Notation romaine classique de base
3 Mode opératoire
3.1 Exemples de chiffres romains dans le système de base
4 Fractions
4.1 Fractions duodécimales
4.2 Autres fractions
5 Extensions
5.1 Variantes médiévales
5.2 Variantes pour l’insertion des nombres romains dans un texte
5.3 Extensions classiques
5.4 Calcul
5.5 Extensions modernes
6 Utilisations modernes
7 Notes et références
8 Voir aussi
8.1 Bibliographie
8.2 Articles connexes
8.3 Liens externes
Origine[modifier]Contrairement à une idée reçue, les chiffres romains ne sont pas acronymiques : par exemple, C n’est pas, au départ, l’abréviation de centum (écrit CENTVM). Les chiffres, attestés dans d’autres langues et écritures d’Italie, étaient au départ des symboles séparés, confondus ensuite