Qualité de vie et surmenage
De nos jours les entreprises ne cessent d'accroitre leurs exigences, ce qui n'est pas sans conséquences sur la santé des salariés.
En effet, il y a une accélération constante des rythmes de vie et de travail,ce qui entraîne une augmentation du stress durant les heures de travail. Une enquète d'OpinionWay pour les Editions Tissot, spécialisées en droit du travail vient concretiser ce facteur. Selon cette enquète, le premier facteur dont les salariés souffrent est une surcharge de travail.En seconde position vient la pression de la hiérarchie selon 41 % des sondés . Puis d'autres facteurs tels que la situation économique de l'entreprise ou de la France avec une peur de perte d'emplois, l'ambiguïté des rôles et responsabilités de chacun, la pression des résultats, les contraintes organisationelles, la pression des clients, les relations avec les collègues et le confort au travail.
La sédentarité au travail est par ailleurs en net augmentation depuis cette denière décénnie. Ce phénomène pourrait être en partie la cause d'une épidémie d'embonpoint et d'obésité. Cette sédentarité est très présente au Canada mais aussi dans les pays développés. On peut observer une nette augmentation du temps que les gens passent assis à leur bureau. Au Canada a été détecté une hausse d'inactivité au travail de 5% chez les hommes et 4 % chez les femmes, chiffres dont les résultats sont similaires aux Etats-Unis, en Angleterre et en Finlande notamment.
Ensuite, la "malbouffe" au travail s'avère être un autre facteur reponsable de la mauvaise qualité de vie des travailleurs. En effet, 70 % des salariés français déjeunent chaque jour sur leur lieu de travail. Le temps de repas étant limité, les déjeuners ne sont pas très équilibrés. De plus, le déjeuner sur le pouce entraine des grignotages tout au long de la journée qui sont également responsable de troubles comme le surpoids ou des maladies cardiovasculaires.
Quant à la mauvaise qualité de