Quasi fin d'un commentaire littéraire sc 7 l'atelier de grumberg + un début de corpus
Ce corpus se compose d’extrait de 3 textes, dont un est une pièce de théâtre qui se nomme L’Atelier de Jean-Claude Grumberg en 1979, ensuite on a un essai, une chronique, Actuelles II, L’Artiste et son temps d’Albert Camus écrite dans les années 1946 et pour finir un extrait de roman d’Emile Zola, Germinal en 1885. Le registre dominant nous est dit ici comme étant les cris de révolte contre différentes formes d’oppression et c’est ce que nous allons justifier.
Dans la pièce de théâtre, on peut voir la colère d’Hélène par une ponctuation expressive : abondance d’exclamations, d’interrogations et de points de suspension « Tiens, lis ! », « Et alors ? Drancy ou ailleurs… C’est un papier non ? ». Léon ne veut pas qu’on parle et que l’on publie les souffrances des juifs (champ lexical du silence). Il souhaite évacuer un passé douloureux et il éprouve comme un sentiment paradoxal de culpabilité. et une didascalie très évocatrice « (criant) ». Une œuvre réaliste où le langage est plutôt familier parfois cru projette le lecteur dans une époque bien particulière, une scène tellement réaliste qu’elle sent le vécu : « Pauvre idiot », « Et toi range ». C’est une scène dynamique, la parole est vivace et la scène est riches sur plusieurs plans : celui des idées (deux conceptions antagonistes du devoir de mémoire) et celui de la dramaturgie. Nous pouvons voir cette hargne également dans l’extrait du roman d’Emile Zola par « reprit-il d’une voix plus vibrante. » et par « Entendez-vous ! », nous sentons l’autorité et l’énervement qu’à Etienne sur ses compatriotes. Dans le dernier texte il est bien dit que l’on parle de toutes les personnes torturées, maltraitées et exploitées, « Le mineur qu’on exploite ou qu’on fusille, les esclaves des camps, ceux des colonies », encore une preuve d’un cri de révolte face
II) TRAVAIL D’ECRITURE
1) Commentaire
Jean-Claude Grumberg est un écrivain et dramaturge français du XXème siècle. Ces parents étant