INTRODUCTION

Les entreprises locales implantées dans leurs nations ont-ils le choix entre conserver leurs habitudes ou choisir une expansion vers la multinationalisation ?
Le « made in France » existe-t-il encore ? L’Union Européenne fait suite au traité de 1992 qui prévoyait l’ouverture et la libre concurrence des entreprises. Un engagement moral à la mondialisation, où certaines entreprises ont prie le pas avant l’heure, d’autres au contraire attendent de ne plus avoir le choix.
Suivant les lois de l’offre et de la demande, les entreprises nationales vers la fin du XXème siècle rencontraient un obstacle : l’incapacité de répondre à toutes les demandes ; ceci a finit par aboutir à une situation de rareté pour certains biens. Cette décadence a laissé place à l’importation des concurrents étrangers qui ensuite venaient s’installer sur le territoire français afin de défier la hausse de l’inflation !
On sait aujourd’hui qu’un bien a une durée de vie limitée… L’accélération des innovations du XXème siècle de nouveaux produits sur le marché français raccourcie leur durée de vie, ce qui semble aboutir à des marchés étroits et peu rentables, pour finalement arriver à des goulets d’étranglements, une dérèglementation. Les moyennes entreprises étranglées par les plus grandes, n’ont qu’une chose à faire pour subsister, accepter une alliance partenaire ou devenir filiale…
Il faut donc bien identifier tous d’abord comment cela à commencer et identifier les facteurs qui à l’origine encouragent à l’ouverture des frontières, puis qu’est-ce qui peut motiver une entreprise à s’investir à l’étranger ? Mais encore la conception et la production de biens économiques contribuent vers une poussée de la multinationalisation Et alors, les petites et moyennes entreprises qui peinent à survivre ont-elles toujours leur place dans un marché mondialisé ou doivent-elles trouver à tous pris le moyen de devenir à leur tour des puissances économiques en masse à défaut d’être filiales ?